Magmatique

Magmatique

Nouvelles

Une histoire en  courts épisodes pour délirer. Je l'écrirais selon l'inspiration du moment. Pour ceux qui, au passage, lisent ces nouvelles, soyez indulgent pour les fautes. Bonne lecture.


Plus de sens

   An 2150. Les temps sont durs. Les gens se battent pour survivre. Une grande majorité d' êtres humains se trouvent dans une situation de grande pauvreté à cause des avancées technologiques permettant à l'humain de se délester de nombres de taches et de se livrer à jouissance à tous les plaisirs que celui-ci peut imaginer. Ceux-ci, d 'accès coûteux, ne sont accessibles que par des très fortunés, et, pour ceux qui ne le sont pas, tous les moyens sont bons afin d'en profiter.
Beaucoup y ont laissés des plumes, tout niveau social confondu. Venant grossir les rangs des C.S.R, (catégorie sans revenus). Parmi eux, certains, désavantagé sociaux depuis leur venu en ce monde, cherchent à entretenir une étincelle d'espoir dans cet univers futuriste effrayant.  

   Parmi eux, robert cross. Un homme d'une trentaine d'années, de taille moyenne, un physique plutôt maigre derrière des vêtements amples. Une apparence décontracté, aux premiers abords, mais dissimulant sa vrai nature, celle d'un être assez vif et aux réflexes aiguisés. Il est né de ce futur. Ses parents, conscients, à leur époque, des dangers que pouvait représentée la technologie à plusieurs niveau, l'avait préparé à affronter son époque en lui donnant les connaissances nécessaires pour lutter contre l'adversité. Il leurs en était reconnaissant, car cela lui était, actuellement d'un grand secours. Il valait mieux être au courant de certaines choses que pas du tout. C'est du moins ce que se disait robert, vu la paranoïa qui se répandait sur tout ceux qui ne saisissaient pas les rouages de la machine.
Déjà, à l'époque de ses parents, les évènements laissaient présagés un futur assez néfaste pour tous ceux  qui en serait exclus. Les signes étaient évidents, il suffisait de les interpréter. Mais les gens ne voulaient pas voir. Cela n'entrait pas dans leurs préoccupations premières. 

   Leurs enfants, maintenant adultes, avaient évidemment hérités des attitudes de leurs parents, et comme eux ils ne voulaient pas voir. C'en était affligeant. Robert avait grandi avec l'un d'eux. Ils avaient inséparables jusqu'à leur adolescence, puis, le cour de la vie les avaient séparés. Il ne l'avait plus revu depuis.

   Il était temps d'agir maintenant. Robert se sentait prêt. Ce moment là, il l'avait préparé méticuleusement pendant toutes ces années passés avec la "communauté", cercle d'initiés dont la principale activité était de faire perdurer les enseignements des "avertis". Ces derniers avaient ouverts la voie pour que des hommes ou femmes de cet époque puissent s'extirper du chaos mental créé par la machine. Les enseignements reçus devaient les y préparés. Beaucoup n'y crurent guère à l'époque à cause du magma électromagnétique qui saturait leurs cortex. Robert se rappelait la folie qui suintait de partout. Les relations étaient risqués, chacun dans son monde, la paranoïa comme partenaire. C'était le début du chaos.

  Depuis, les temps avaient passés et la schizophrénie régnait en maître. Tout cela, bien sur, n'était pas visible à l'oeil nu car l'art de la dissimulation était de mise comme attitude, et chacun se targuait d'avoir la tête sur les épaules. Mais les signes trompaient. Et ça finissait par l'étiquette collée au profil, puis l'élimination subtil et invisible par le système en place. La façon de faire différer selon le niveau de l'individu, mais le résultat était le même.
Pour robert, tout cela devait changer. Il se refusait à vivre dans cette cacophonie des sens. Cela le dépassait depuis son enfance. Il n'était jamais arrivé à s'y faire, malgré les systèmes de protection anti-ondes qu'il possédait et les entraînements mental et physiques qu'il avait enduré. Il se devait d'agir pour son bien et celui d'autrui. Et le moment était arrivé.
  
   Alors qu'ils étaient en route, lui et ses compagnons, robert se remémorait en détail le plan qu'ils leur étaient assignés. Ce n'était pas la première fois qu'il partait en mission. Les précédentes, il ne préférait pas s'en souvenir, car cela lui rappelait le prix à payer à chaque fois. Les drônes étaient infaillibles, et ils avaient du mal à les éviter. Beaucoup de compagnons de route étaient tombés, et cela le faisait souffrir rien que d'y penser car ils les avait connus tous. Ils avaient appris à combattre ensemble pour leur survies, cela depuis leur jeunes âges, et chacun était pour l'autre comme un frère. Ils devaient se faire à cela.

  Après un long trajet effectuée dans la nuit, ils arrivaient au point de contact qui leur avaient étés assigner. Robert se sentait fébrile, comme toutes les fois ou il s'était retrouvé dans l'action. Ils s'exécutèrent sans tarder, chacun sachant ce qu'il devait faire. Avec la pioche qu'il avait apporté robert se mit à creuser de toutes ses forces dans la terre meuble alors qu'un autre déblayait derrière lui.
  Ils se synchronisèrent dans leurs mouvements, robert donnant cinq coups de pioches, son compagnon déblayant juste après, et tout cela en cadence.

   Au bout d' une heure de travail, ils en étaient à une profondeur de deux mètres, les vêtements trempés de sueur sous cette nuit chaude. Ils se donnèrent une minute pour reprendre leurs forces. Robert sortit sa gourde à laquelle il but à grande gorgée, puis la tendit à son compagnon qui en fit autant. Ils se remirent à la tâche sans tarder. Le temps comptait, et ils redoutaient l'apparition des drônes qu'ils savaient en route depuis leurs arrivés. Ceux-ci détenaient un système de détection performant qui était relié à une centrale informatisée, et qui leur fournissait dans un temps record les coordonnées de leur emplacement dès qu'une intrusion était décelait dans les zones ou ils opéraient.
Ils savaient par l'expérience que ces outils du système surgiraient dans très peu de temps, semant une pluie de mort sur leur passage, comme autant de fois auparavant. A l'idée de cela, robert s'activât de plus belle, entraînant son compagnon et lui dans une danse frénétique de pioche et de pelle avec comme enjeu leur propre vie. Ils savaient tous les deux que celle-ci dépendrait de leur vitesse d'exécution.

  Les drônes n'étaient toujours pas là. Pourtant cela faisait plus d'une heure qu'ils creusaient. Robert ne cessait, à chaque coup de pioche, de regarder au dessus de sa tête, les muscles tendus au maximum, prêt à réagir à toute éventualité, quand, tout d'un coup, il se figeât, stoppant en même temps son compagnon de travail dans son élan. Quelque chose clochait. Il se regardèrent tous les deux un moment, puis robert lâchât sa pioche et sortît du trou. Ils étaient venus à cinq. Deux pour creuser, un qui s'occupait du matériel et deux qui faisait le guet. Comme tout les fois, cela se passait comme çà. Comme toutes les fois, il y avait les drônes qui surgissaient et faisaient jaillir leurs lasers sur tout ce qui bougeait. Et comme toutes les fois un seul restait et les autres fuyaient les tonnerres de feu.
Cette fois-ci, il n'y avait personne. 
 
   Il avait comme une sensation d'irréalité dans ce qu'il percevait : l'atmosphère, les couleurs du paysage, l'odeur de l'air. L'impression de déjà vécu lui remplirent ses sens d'une tel force qu'il vacillât sur le coup.
- « Qu'est-ce qui s'passe ! » s'écriât Robert en se retournant vers son compagnon de travail...
Il se figeât. Personne à l'horizon. Il pensait le trouver derrière lui mais ce n'était pas le cas. Aucun mouvement ne lui parvenait du rebord du trou qui lui semblait étrangement calme. Robert sentît un début de panique monter en lui. Il était là, debout, face à ce qui semblait être une incohérence de la réalité à laquelle il était exposé. Tout ses compagnons de route qui étaient chargés de préparer les lieux pour parer à d'éventuelles attaques avaient tout simplement disparus dans la nature sans laisser de traces. Plus rien.

   Ça n'avait aucun sens. Cela ne pouvait pas être vrai. Il y avait sûrement une explication rationnel à ce qui se déroulait sous ses yeus.. Il restât figé de longues secondes, s'attendant à ce que quelque chose de terrible lui tombe dessus.... Rien ne se passât. Il se devait de réagir au plus vite sans chercher d'explication et pendant qu'il en avait encore le temps. Il s'avançât, d'abord doucement, puis plus rapidement vers le trou qu'il était en train de creuser une minute auparavant, s'attendant à trouver Franck (c'était son prénom), son compagnon de travail à la tâche, en train de déblayer la terre, ce qui l'aurai sûrement à moitié rassuré.... Ce qu'il y vît lui fît l'effet d'un coup dans l'estomac. Robert se sentît vaciller. Tout cela était dément. Le trou était vide... Tous avaient disparus. Il ne restait plus que lui.  

  Au fond, un des nombreux câble d'interconnexion réseau reliant les métropoles entre eux était à moitié déterré, la gaine éventrée par une entaille assez longue, laissant apparaître des tiges de fibre optiques soudées les une aux autres. Une tige avait été sectionnée, comme cela devait être fait pour que lui, Robert, exécute la partie la plus importante du plan. - Cela devait se passer comme cela, songeât Robert, en évitant de penser à ce qui avait pu faire disparaître Franck et les autres. Dans un état de confusion extrême, les sens en alerte, la seul chose qui lui restait à faire malgré le choc nerveux qu'il subissait, c'était de passer outre l'imprévisible comme il avait appris pendant toutes ces années d'entraînement, et de continuer sa mission sans s'attarder.

  Pourtant il n'avait qu'une envie, c'était de fuir comme un dératé, aussi loin que possible cette réalité qui se dérobait à lui. Les jambes tremblantes, il redescendît dans le trou sans cesser de regarder autour de lui, cherchant quelque chose, il ne savait quoi, qui lui dirait que tout çà n'avait pas lieu, qu'il était, en faite, en train de dormir, qu'il n'était jamais sortit cette nuit là, et qu'il rêvait de tout çà.
  Mais il devait faire...! Seigneur! qu'est-ce qu'il devait faire déjà! Debout, au fond du trou, le regard posé sur le câble éventré, Robert se sentît comme tout d'un coup engourdit. Il éprouvât soudainement une sorte de blocage devant l'action qu'il devait entreprendre. Celle-ci, pourtant, il la connaissait sur le bout des doigts, l'ayant effectuée de nombreuses fois et avec succès. Mais à cet instant précis, il ne savait plus. Il ne pouvait plus. Et il ne comprenait plus ce qu'il faisait là. C'en était trop d'un coup. C'est à ce moment là qu'il perdît le contrôle de lui-même, et se mît à hurler de toutes ses forces.

  Derrière la vitre fumée de la pièce ou Robert se trouvait, allongé sur une sorte de table d'opération, les bras et les jambes attachés par d'épaisses sangles, un homme l'observait attentivement. Quand il vît les signes d'agitations apparaîtrent sur son visage, il en conclue que l'expérience avait encore une fois échoué. Le sujet était coriace, et, apparemment, avait été bien entraîné. Sur une console, les résultats de la charge émotionnel de Robert traduisaient un échec de l'expérience. Quelque chose en lui refusait d'effectuer la tâche qui lui était assigné au moment ou il se trouvait devant le câble. Les données recueillit avaient été contrôlés, reprogrammés, et insérés une nouvelle fois dans le cortex de celui-ci. 

  L'homme émit un soupir de frustration. L'idée de remettre de nouveau un rapport négatif l'emplissait d'une rage contre Robert au point qu'il aurait voulut rentrer dans la pièce pour se saisir de celui-ci et le 'secouer' comme un prunier afin de lui faire cracher les précieuses informations qu'il détenait. C'était peu dire, l'homme refusait à se l'avouer, mais le mot torture lui semblait plus approprié à la situation. Tout en ruminant ses pensées, il s'engageât dans de longs couloirs sombres en direction du bureau de son supérieur.

 - Qu'est-ce qui vous fait croire que c'est encore un échec ?
 - Selon les données qui ont été enregistrés. Les résultats sont parlant, et identiques à ceux qui ont été précédemment récoltés.
 - Quel est votre opinion cette fois ci !
 - je me risquerait à vous dire que, peut-être, nous n'employons pas la bonne méthode. Que, malgré que nous disposions d'outils modernes assez pointue pour ce genre de procédé, cela ne convient pas pour des cas comme lui.
 - Je vous ai déjà répondu à ce sujet et vous connaissez mon opinion dessus. Il est inutile de relancer le débat. J'ai besoin d'une réponse objective de votre part. En êtes vous capable ?
 - Il faut reprogrammer le module des souvenirs sur des paramètres plus pointus. Ceux que nous disposons ne sont pas assez suffisant pour perdurer dans ses propres flux. Il y a un crash au moment ou il se trouve dans le trou avec son compagnon. C'est à cet instant ou il ont été attaquer par les drônes. Tous ont été tuer, sauf lui. Malgré ses blessures nous l'avons soigné et rapatrié au complexe centrale afin d'en savoir plus sur leur agissement, mais là, je suis perdu. Je ne sais pas ce qui provoque son blocage, mais je finirais par trouver. Ce n'est qu'une question de temps.
 - Ce n'est question que de votre temps ! le procédé qu'il ont employés ont permit le relais à leurs semblables, qui vont pouvoir, par cela, se transférer des données entre eux qui nous seront nuisibles. C'est une fois de trop. Si nous ne trouvons pas par quel moyen il établissent leur réseau, alors, ce ne sera qu'une question de temps avant qu'ils ne forment un ensemble incontrôlable. Nous devons tout faire pour empêcher que cela n'arrive. Suis-je bien clair !
 - C'est très clair.
 - repartez travailler, et ne revenez me voir qu'avec de bonnes nouvelles. On ne peut se permettre d'échouer une nouvelle fois.
 - Bien reçu. L'homme tournât des talons et repartît sur le champ. Il y passerait le temps qu'il faudrait mais il finirait par trouver. Il y mît un point d'honneur.

  Robert était seul sur les lieux de l'opération, et il ne comprenait toujours pas. Bien plus tard, qui durât une éternité, il se retrouvât, un beau matin, de nouveau chez lui. Ouvrant ses yeux, il songeât au rêve qu'il venait de faire. Il s dit que cela devait être dû à l'appréhension de la nuit qui les attendaient, lui et ses compagnons de route. il se levât, pris une douche et n'y pensât plus.

Note de l'auteur : Je viens de relire cette nouvelle que j'ai édité depuis un bon moment déjà, et je me suis aperçu de quelques incohérences par ci, par là. Je dois avouer que j'ai un peu ris sur le développement de celui-ci. Je ne suis pas un écrivain et je n'essaye pas de me la jouer en tant que tel, mais je m'amuse. Je vais donc essayé  d'en créer une suite qui, je l'espère, éclaircira ces incohérences.

01/05/2008
0 Poster un commentaire

A venir

Hello. Je suis de retour. Étant beaucoup pris par l'apprentissage de beaucoup de choses concernant l'open source, j'ai un peu délaissé mon blog. Je vais arranger çà avec l'ajout de beaucoup de docs et d'articles sur lequel j'ai travaillé ces derniers temps.Et aussi l'écriture d' une autre nouvelle qui sera là bientôt.

29/01/2009
0 Poster un commentaire

Tansition

Voici une nouvelle histoire en cour de rédaction.

Absente pour le moment.

A suivre...

Note de l'auteur : J 'ai retiré l'histoire car je suis en trai de la remanié.

22/03/2009
0 Poster un commentaire